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Peut-être la beauté du monde le sauverait, lui, homme où le mal s’est introduit. Peut-être que l’apparence des hommes, hauts, forts, parfois d’une sensibilité sommeillant ou l’apparence des femmes, plus fines, plus légères, plus basses et d’un gestuel plus prenant, pourraient le réveiller de ce rêve insouciant. Peut-être que la beauté des bâtis, de la nature qui fleurit, des cycles de vie, l’image des vagues de la marée qui s’approchent en murmurant, des rivières qui ruissellent, les feuillages verts, rouges,  pourpres et arc-en-ciel qui dansent sur le vent. Peut-être que la vie, elle, simplement, saurait le réveiller de ce sommeil infini.

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