Les yeux oppressants du curieux méfiant sur l’incompris intéressé, qui admire la force d’esprit et la ténacité. Il est doux et doué à la chandelle du loup et du zèbre qui fouettent les cous des chouettes et mordent le pain, le vin à claquement de mains. J’entends le courroux des monstres dans l’obscur lointain des ivres rongeurs des mal-aimés amants, des outragés fous qui terrassent leur fureur d’un petit sifflement sur la paix du Mont Fuji enneigé de Sakura qui parfume les esprits du rose éblouit qui endort mes chéries et suffoquent au jouet que j’agite dans le gît qui nous réchauffe dans l’océan du ruisseau d’Evian. Je pars en voyage au bout des terres arides de Miami et reviendrais voir le monde seul qui me riait au pied, au sourire de ma femme qui me quittait au lit, de ma paire de chaussure que j’ai perdue ici.
