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Mon coeur ralenti, mon âme se plie, je trépasse dans l’instant où mon esprit déguerpit.

Les autres là bas regardent avec éclat ce spectacle de choix qui s’offre à leur joie. Pas un seul doigt ne viendrait rompre ce tas, dans l’horreur ma foi, de ma vie en trépa. Il s’amuse ainsi, le malheur d’autrui, un peu plus ils jouissent tant que ce n’est fini.

Lamentable abandon, ces êtres sans raison, derniers mots d’un garçon : « voilà qui sont les cons ! »

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