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« Aimes-tu ce trou de métal qui te pénètre la gueule, ce goût d’acier qui demande à flamber ! Imagine ta langue se broyer dans l’instant, ta gorge se perforer ou l’éclatement de ta cervelle sur le mur d’à côté. Imagine que mon doigt glisse sur ton œil, que ta pupille noir soit un trou dessiné, que des verres te rongent quand tu respires encore, que ta douleur me fasse rire d’un immense plaisir. Supplis moi d’arrêter ! Pleur de cette prochaine peur ! J’aime l’éclaboussure de ton sang sur mon corps, de cette odeur si chaude et si présente. Je prie pour que ton âme ailles en enfer, que l’on puisse reprendre ce plaisir à l’infini, de l’autre côté de la vie ! »

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